Le Temple du Sommeil: Interprétation des rêves, Sommeil et Comparatif de produits dédiés au sommeil
Publié par Le Temple du Sommeil le 06 nov. 2024
Combien d’entre vous dorment avec un partenaire qui ronfle ? Car si le ronflement excessif ( ronflement ) est considéré comme un trouble du sommeil qui touche environ 25 % de la population, même dormir avec une personne qui ronfle peut entraîner des problèmes de sommeil.
Des nuits entières passées les yeux grands ouverts à essayer de nous distraire de ce son agaçant qui sort de la bouche de notre partenaire. Et si nous avons la chance de nous endormir avant que notre partenaire de lit ne commence son concert, il peut arriver que nous soyons réveillés par un grognement extrêmement intense.
Résultat : se lever le matin fatigué, nerveux, frustré. Et avec la peur que la nuit suivante cela se reproduise encore, encore et encore. Et pendant que le ronfleur dort bien, ignorant (ou presque) ses performances, le partenaire en subit les conséquences. Avec le risque de mettre également à mal la relation de couple.
Par exemple, selon la National Health Fundation américaine, environ 23 % des couples dorment dans des chambres séparées, avec des conséquences négatives évidentes sur l'intimité du couple (qui est souvent remplacée par du ressentiment.
Utilisez des bouchons d'oreilles : pas chers, faciles à trouver, ils sont extrêmement efficaces pour filtrer les bruits de votre partenaire. Cependant, tout le monde ne peut pas les tolérer pendant une nuit entière.
Modifiez votre horaire : nous nous couchons 15-20 minutes avant notre partenaire. Une fois endormi, il sera plus difficile (mais pas impossible) d'être dérangé par ses ronflements.
Prenez un lit plus grand : cher, mais utile. Dormir collé à un partenaire qui ronfle ou à un demi-mètre de distance peut faire la différence.
Couvrez le bruit de votre partenaire avec un son constant, comme celui des ventilateurs de plafond. Il existe même sur le marché des « machines à sons (ou bruits) » qui créent un bruit de fond constant, comme celui du vent, qui masque les ronflements de votre partenaire.
Si tout cela n’aide pas, et surtout si votre partenaire continue de ronfler, l’affaire pourrait être encore plus grave. Le ronflement pourrait se transformer en SAOS, acronyme anglo-saxon de Syndrome d'apnées obstructives du sommeil, caractérisé par une interruption de la respiration, suivie d'un réveil brutal qui rend le sommeil du ronfleur tout sauf réparateur. Avec des conséquences extrêmement dangereuses à long terme : risque de problèmes cardiovasculaires, de fatigue excessive, de complications hormonales et sexuelles.
Mais souvent, vous pouvez intervenir à temps : perdre quelques kilos en trop, renoncer (ou au moins réduire) l'alcool et le tabac et éventuellement faire un contrôle avec votre médecin pour évaluer d'éventuels problèmes anatomiques de la cloison nasale et/ou des amygdales trop volumineuses. Et intervenir à temps sera non seulement bon pour la santé du ronfleur, mais aussi pour le bien-être de votre partenaire.
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